L'informateur atteste de l'existence des guérisseurs et fait immédiatement la liaison avec les désensorcelleurs. Il explique les symptômes d'ensorcellements et les moyens utilisés pour guérir les animaux et l'usage du livre le Petit Albert.…

L'informatrice explique que sa tante élevait des sangsues pour des usages médicinaux. Celles-ci étaient appliquées derrière l'oreille des personnes souffrantes. Cette pratique était courante dans sa famille.

L'informatrice raconte l'attirance des serpents pour le lait de chèvre et pour le lait régurgité par les nourrissons. Elle raconte également l'usage des sangsues par une de ses tantes.

A Sault, trois distilleuses font part de leurs connaissances des plantes à des fins médicinales (l'armoise est une plante abortive, le coquelicot est bon pour la coqueluche), culinaires (la sauge ; la violette ; le lait ; l'églantier ; les épinards)…

A Volx, une mère et sa fille font part de leurs connaissances des plantes à des fins médicinales, culinaires (l'origan, le pissenlit, le serpolet, la rose, l'églantier) et domestiques (utilisation de la saponaire pour laver le linge noir,…

Germaine Meron récite le virelangue des sangsues

Mme Tribert évoque certaines remèdes que l'on trouvait toujours chez ses grands-parents comme les glaçons ou les sangsues dans deux bouteilles. Son grand-père les changeait tous les jours et gardait dans l'eau de pluie. Il y avait plusieurs types de…

A propos de remèdes pour guérir des maux de gorge (pointes d'épines..), la cendre autour du cou, la teinture d'iode, de l'eau de vie pour soigner un panaris, pansement de toile d'araignée, des sangsues pour les furoncles, clés froides dans le dos,…