Cette chanson ressemble, tant par les motifs mélodiques que par certaines formules du texte, à un chant de quête du Mai (« voici le printemps » ; « tout ce que nous gagnons nous le dépensons bien »).
La mélodie de base est difficile à isoler : il semblerait qu'à force de chanter cette chanson, Virginie Granouillet ait adapté la mélodie au texte dont le résultat est la multiplicité des variations. Un autre hypothèse est qu'elle cherche la mélodie…