Un franc = vingt sous

Paul Clerfeuil évoque les soins aux chevaux et le fait de devoir en racheter lorsqu'ils meurent. Il a perdu un cheval durant sa vie et en a usé d'autres qu'il a vendu à la boucherie.

Louis Rialland évoque un endroit où il était possible de trouver des munitions pour les fusils de chasse. Il évoque la chasse aux collets et le fait de n'avoir jamais manqué de nourriture pendant la guerre.

Victor Masson évoque le salaire qu'il gagnait et l'augmentation du prix de la vie.

Sur demande de l'enquêteur, Paul Clerfeuil évoque l'âge d'acquisition des chevaux pour l'attelage, pas avant 6-7 ans. Il montre également des photos de ses chevaux et en nomme quelques uns.