Ils s'éclairaient avec des lampes à pétrole. Ils y en avaient qui avait le carbure mais pas la famille Vrignault car ils ont eut l'électricité pendant la guerre. Il y a eu le temps de bougies également.
Pascal Guérin et Christian Rotureau interrogent quatre ou cinq pensionnaires de la maison de retraite dont Mme Mouchard qui fredonne au début du document différents airs de danses suivis de quatre chansons, des noms de doigts et d'un monologue par…