Arthur Chauvineau parle de la fabrication d'instruments de musique à partir de modèles. Il montre un de ses violons et l'essai devant les enquêteurs en commentant sa sonorité

Pierre Faucher joue quelques airs de danses de son répertoire (polka, brisquet, brisquet vendéen...). Il se souvient de la façon dont il a appris à jouer et explique comment il mémorisait un air. A la fin de l'enregistrement, il joue avec une des…

"Il faut quasiment travailler plus avec sa tête qu'avec ses mains". Arthur fait le parallèle entre la fabrication d'un violon et le travail de labour

Il évoque son premier violon qu'il a acheté en 1926 à un marchand de violon. Il raconte qu'il en a fabriqué trois, ils n'avaient pas un son formidable car le bois utilisé n'était pas de l'érable, très difficle à trouver. Il explique pourquoi il a…

L'enquêteur questionne Elie Bergeonneau à propos d'autres matériaux utilisés avec la même technique que la feuille de noyer. Ce dernier évoque le nezgophone : instrument joué avec le nez.

Arthur Chauvineau était agriculteur. Il a abandonné la pratique du violon. Le métier de cultivateur lui a beaucoup abimé les mains. C'était un vieux rêve de fabriquer ses propres instruments. A propos des Tziganes qui fabrique leurs instruments et…

Arthur fait un essai avec un de ses violons qu'il a fabriqué. Il donne quelques conseils pour bien le tenir ainsi que pour assécher les clefs (au savon, paraffine ou craie)