M. Joltreau est interrogé par Pierre Morin sur l'organisation de la vie au moment de la guerre 1914/1918.
Il commence par parler du travail des femmes dans les champs, qui remplaçaient les hommes partis sur le front puis évoque les veillées chez les…

M. Contant devait faire des fagots de bois, d'épines et s'occupait de couper les haies. L'ouvrage laborieux, se faisait à la pelle et à la pioche.

Dans le cadre de cet entretien avec Évelyne Guichard, elle évoque les termes suivants : badàe, timbre, boulitàe, meriéne, bourié, drigall, chabrot, benaese, oulléte, brchu, morchous, cénse, expression "le se mouche pas avec in dall", drole,…

Il y avait six vaches pour six hectares de terrain. M. Contant explique le travail de la terre, des haies...

M. Contant, accompagné de sa femme? et de ses voisins? racontent le moment des battages, à la main d'abord puis à la moissonneuse batteuse. Il est question de la solidarité entre voisins à ce moment, chose qui s'est perdue avec l'arrivée des…

M. Joltreau explique qu'ils devaient tailler les arbres têtards tous les neuf ans. Ce nettoyage était souvent fait en fonction du bail de location de la ferme (tous les 3,6 ou 9 ans).
Il explique également le nettoyage des palisses. souvent les…