M. Contant devait faire des fagots de bois, d'épines et s'occupait de couper les haies. L'ouvrage laborieux, se faisait à la pelle et à la pioche.

Mme Raynaud parle du métier de son père qui avait des vignes et qui faisait des fagots pour vendre.

Sur demande de l'enquêteur, Mme Neveu et sa fille évoquent le déroulement de noces : le cortège mené par un musicien devant les mariés, la coutume poitevine du fagot posé au milieu de la route et allumé à chaque bout par les mariés, danse autour du…

Probablement en présence de sa femme qui intervient ponctuellement, Henri Fèvre, chante quelques fragments de chansons et gavotte polka boulangère et une polka piquée. Il évoque également les jeux de cartes et les activités durant les veillées en…

Témoignage sur les travaux agricoles, le service militaire, le déroulement des bals, les musiciens. Marcel Fortin parle aussi de son apprentissage du violon, des différents lieux où il a joué et des diverses occasions de jouer. L'enquête se termine…

Henri Fèvre n'a jamais pratiqué le chant à "raudàe" les boeufs et évoque de nouveau des rites de mariage comme faire "fagotter le marié" ou faire "filer la quenouille" à la mariée pour un cadet ou cadette marié(e) avant l'aîné(e).

Eugène Bonnin gavotte dans un premier temps un avant-deux avec une démonstration de pas puis une polka et une scottish. Il poursuit sur la pratique de l'avant-deux et dresse un portrait succinct des bons danseurs et gavotteurs qu'il a connus. Il…

Enquête auprès de Mme Raynaud Blanche. Elle parle des coutumes d'autrefois lros des maraiges et des fêtes. Elle aussi des veillées et du métier de son père.

Eugène Bonnin décrit les rites de mariages anticipés relatifs à la fille que lon faisait filer au rouet et à la quenouille et au garçn que l'on faisait fagoter.