Mme Proux évoque les bonnets portés par sa mère : plats pour la semaine et gaufrés le dimanche. Son callun (coiffe) était de la forme de celles des alentours de Neuville et s'appellait la Pantine.
Sur demande des enquêteurs, Mme Pin et sa fille évoquent les "bonnets gaufrés" et les coiffes montées hautes avec un noeud, "les caillons" (ou caillun) et "la calotte".
Sur demande des enquêteurs, Ernest Bodin et sa femme évoquent les vêtements de fête ou du dimanche :
une veste bleue ou grise et un chapeau "ordinaire" à grands bords pour les hommes ; une robe longue et une coiffe (appellée rufanelle ou…