Florent Renaudeau raconte ce qu'il arrivait aux personnes mordues par des chiens enragés.
Il chante, sur demande des enquêteurs une interpellation de chiffonnier.

Louis Rialland et les enquêteurs évoquent le braconnage, qui pouvait se faire avec des chiens ou des pièges. Il raconte comment il a appris à chasser.

Louis Rialland évoque les parties de chasse pendant et après la guerre, avec les chiens ou au furet. Il raconte une anecdote de chasse.

Louis Rialland évoque un endroit où il était possible de trouver des munitions pour les fusils de chasse. Il évoque la chasse aux collets et le fait de n'avoir jamais manqué de nourriture pendant la guerre.

Florent Renaudeau raconte le récit de chasse de son premier lapin avec son père.

Sur demande de l'enquêteur, M. Audoux évoque la chasse qu'il a connue, chasse à cours ou individuelle, quand il y avait encore beaucoup de gibier, avant les machines et les maladies. Il évoque également des chasseurs réputés : Clément et un chasseur…

Florent Renaudeau raconte des anecdotes sur ses parties de chasse au lapin, au fusil.

Mme Guérin évoque le jeu de la mitoire et du chasse-gaillerite : animaux qui n'existent pas mais dont on fait croire l'existence à des personnes naïves dans le but de se moquer ou de les faire attendre pour rien.