Ce chant conte l'histoire d'une jeune fille qui s'intéressait à la politique et qui ne quittait pas des yeux le journal "Le petit parisien". Cette chanson n'est pas répertoriée dans la thèse des enquêtrices.
L’informateur explique que les « Réveilhets » - appelés d’après lui « Pastillons » en Corrèze - , sont ici appelés « mois de mai ». Des chansons spécifiques étaient jouées pour l’occasion, parmi lesquelles « Jolie mois de mai », jouée à l’accordéon…