Description de la vogue : On plantait un mas de cocagne, faisait un bal, un bon repas et à la fin chacun disait sa chanson et son monologue, et puis c’etait fini. Certains montaient à la cime du mas.

M. Rey chante un rigodon en occitan, puis décrit la danse. Souvenir de la dernière fois qu'il a vu danser le rigodon et commentaires sur la rupture de la guerre de 14-18.

Discussion sur les patois : "on se comprend, mais les accents varient d'un village à l'autre".

Demande sur les bêtes mystérieuses. « Les feu follets, ils prenaient ça pour des revenants ». Commentaires sur le poids du clergé avant la guerre de 14 et la crédulité des populations dans les campagnes.

Tentative de se souvenir d'un monologue en patois "Quand Noël viendra et qu'on tuera le cochon, on lui offrira un murson, des gratons, du lard…"

Commentaires sur les enterrements.

M. Rey récite un autre monologue : "Le père Fort à chaque session dit à ses neuf compagnons: pour que la liste soit complète, faisons encore une boulette".

M. Rey dit n'avoir jamais fêté le carnaval ou Pâques. En revanche, souvenir de la vogue le 1er dimanche de juin. Ils invitaient des parents, des amis et chantaient. « Les bottines de Joséphine ».

Description des danses : la scottish, la valse, la mazurka, la quadrille, la polka

Souvenirs de Noël, description du repas et de la messe de minuit.

"Il avait la tête d'un bœuf […] mais c'était une vache"

Colporteurs, commerçants ambulants et artisans à domicile. Souvenir d’un montreur d’ours. Commentaires sur les ours, qui attaquaient les troupeaux.

M. Rey livre plusieurs monologues en français et en occitan, chante un rigodon et se souvient de plusieurs évènements de sa jeunesse : les vogues, les enterrements ou encore les vendeurs ambulants.