M. Rey livre plusieurs monologues en français et en occitan, chante un rigodon et se souvient de plusieurs évènements de sa jeunesse : les vogues, les enterrements ou encore les vendeurs ambulants.
Commentaires sur l'apprentissage de routine : "j'étais petit, j'étais berger". Suivi de l'interprétation d'une chanson de 1914 : "La lune vous regarde"
Commentaires sur la vie quotidienne du temps des parents des informateurs : "Les gens se contentaient de peu. Il y avait trois cafés. On buvait du vin, et le soir on chantait, et on se contentait de ça. Voilà la vie de nos parents. "
Commentaires sur les danses, la glissante. Souvenir des mondées et des bals à la bouche, à l'harmonica ou à l'accordéon. "Autrfois, on s'amusait plus que maintenant".
Berceuses : « De notre temps, on a guère vu bercer les enfants ». Histoire des moutons qui ont tous sauté dans la crèche. Personnes qui jetaient des sorts. Dans une ferme là haut, il y avait des agneaux, et soit disant, il ne s’enlevait plus dans la…