Lors de cette enquête plus tardive auprès de Madame Chazel, Sylvette Béraud-Williams est accompagnée par Christian Oller, musicien et collecteur. Bien que sa voix soit moins assurée que lors des enquêtes des années, 1970, elle livre une grande partie…
Cette version de la Fille soldat début par six couplets d'une chanson de bergère en occitan, sur un air de bourrée, avant d'enchaîner avec l'histoire de la fille soldat.
Madame Chazel avait appris cette chanson lorsqu'elle débutait à l'usine, en 1906. Le début de la chanson (« Bonjour charmante bocagère, Je viens ici en ce beau jour ») est coupé.
Cette chanson reprend le premier couplet d'une chanson de "Belle abandonnée" souvent enregistrée par Sylvette Béraud-Williams (Coirault 3503 - Celle qui marche quarante jours). En revanche, l'air et la suite des couplets sont très différents, et…
Chanson énumérative, sous la forme d'un dialogue entre une jeune fille et sa mère, qui ne veut pas la marier sous prétexte de pauvreté. A chaque couplet, elle cite un nouvel objet indispensable pour se marier.
Le répertoire de Mme Chastagnaret a été enregistré par son petit fils, M. Pigeron, lors d'un repas de famille en 1966. Âgé de 83 lors de cet enregistrement, elle possédait un répertoire très étendu, et chantait fréquemment dans la vie quotidienne.
Emile Arnaud, habitant du plateau ardéchois et âgé de 77 ans lors de l'entretien, livre une dizaine de chansons et d'airs de danse au micro de Sylvette Béraud-Williams.
Adaptation récente d'une chanson populaire (Coirault 6520 - L'amante qui se fait vivandière), sur le thème de la jeune fille qui suit les troupes pour vendre des vivres aux soldats.