M. Routhiau joue de nombreux airs de danses avec son accordéon chromatique. Il en joue quelques-uns avec l'accordéon diatonique d'un des enquêteurs (Guerbigny). Il fait également écouter un enregistrement de bal où il a joué.
Les informateurs essayent de se souvenir des paroles de la chanson puis Auguste Brosset de façon croisée fait part de son sentiment sur les jeunes et les vieux puis critique la sonorité du violon de Pierre Bousseau.
Paul Retailleau évoque une chanson en patois qui ne lui vient plus à l'esprit. René Routhiau évoque les danses-rondes en essayant de se souvenir de l'une d'entre-elles dont il cite quelques paroles.