Après avoir essayé de se rappeler les figures du quadrille des Lanciers, Georges Garraud dit qu'il faudrait se retrouver à plusieurs et les enquêteurs l'invitent à participer aux veillées.
Georges Garraud tente d'expliquer l'avant-deux en gavottant les notes de musique, puis évoque avec sa femme des personnes qui sauraient mieux le danser et un lieu, Cerizay, où l'avant-deux est beaucoup dansé.