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  • Créateur est exactement "Informateur(s) : Cornuault, Madeleine"

A propos des plus beaux airs d'avant-deux, des avant-deux d'après-guerre et leur déclin

CERDO - Poitou-Charentes-Vendée

Evoquant les grands orchestres responsables de la disparition des avant-deux, Madeleine Cornuault cite Jean-Claude Ligner, joueur d'accordéon, le petit-fils à Baptistine Ligner, qui a toujours joué des avant-deux.

Portrait du violoneux Bourdounàu

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Madeleine et Alphonse Cornuault dépeingne le musicien tel qu'ils l'ont perçu juste après la guerre 1914 : originaire de La chapelle-Saint-Laurent, venait uniquement aux assemblées, très bon musicien, amuseur. Ils évoquent également sa réputation,…

A propos des pas d'avant-deux, de son sentiment sur les avant-deux d'aujourd'hui et démonstration dansée

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Madeleine Cornault fait part de sa déception face à la pratique des avants-deux lors de la noce de sa petite fille. Elle fait une démonstration de ce qu'elle entend pas les "vrais pas". Elle insiste sur le pas près du sol et en accord avec la musique…

A propos des differences entre les avant-deux d'un lieu à l'autre, des musiciens à La Marandière de Montravers et l'utilité à apprendre l'avant-deux aujourd'hui

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Evocation de la présence de Pierre Faucher, violoneux de Treize-Vents (85), présent à La Marandière de Montravers (79)

Témoignage de Madeleine et Alphonse Cornuault sur le violoneux Bourdounàu, les musiciens de routine et les danses traditionnelles, à La Forêt-sur-Sèvre (Saint-Marsault) (79) en février 1985

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Alphonse Cornuault et particulièrement sa femme Madeleine évoquent leurs souvenirs sur le violoneux Bourdounàu présent à Saint-Marsault (79) Menomblet (85) et Saint-Mesmin (85) seulement pour les assemblées. Madeleine fait très souvent le lien avec…

A propos de la déambulation à pied dans les noces et pour les foires

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Madeleine explique que les déplacements se faisaient majoritairement à pied avant l'acquisition de sa bicyclette à 18 ans. Elle donne l'exemple de la foire à Saint-Mesmin (85) et d'une noce à Menomblet (85) puis sa participation à la cuisine de…

A propos de la double activité des musiciens et de leur gestion

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Evoquant la juxtaposition des activités d'un musicien (musique et travail régulier), Madeleine Cornuault prend l'exemple d'Alfred Talon dont l'activité à son début était pratiquement consacrée à la musique. Les informateurs donnent ensuite quelques…

Portrait physique et musical du violoneux Bourdounàu

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Les informateurs brossent un portrait succinct du musicien en évoquant les danses de l'époque : polka, mazurka, scottish, pascovia et avant-deux.

A propos des parcours et des difficultés rencontrées par les musiciens

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Madeleine et Alphonse Cornuault expriment dans un premier temps une relève déficiente en matière de musiciens routiniers à l'époque de leur jeunesse puis évoquent les parcours d'Alfred Talon, la maladie d'Albert Girardeau. Dans un second temps, ils…

A propos du quadrille

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Madeleine explique que, selon elle, l'avant-deux a fait perdre le quadrille après la Première Guerre mondiale puis elle précise que le quadrille avait huit figures dont "La poule des dames" et "La poule des messieurs avec le petit et le grand…

A propos des assemblées où intervenait Bourdounàu et de la première noce d'Albert Girardeau

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Dans un premier temps, les informateurs précisent de nouveau que Bourdounàu n'était présent qu'aux assemblées à La forêt-sur-Sèvre (79) ou Saint-Pierre-du-Chemin (85), qu'il n'était probablement pas marié et sans élèves connus. Dans un second temps,…

A propos des assemblées, de loteries et des "danseries"

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A propos des loteries des grands--parents de Mme Landry à Cerizay et des "danseries" animées par Bourdounàu puis par Alfred Talon

A propos du déroulement des noces

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Madeleine Cornuault évoque les noces de deux jours avec leurs repas, les chansons, les déambulations à pied. Elle précise que ces noces avaient lieu en général à l'hôtel, rares étaient celles qui se déroulaient au domicile et cite en exemple la…

Contexte de la danse durant la guerre 14-18 et pratique de l'avant-deux et du quadrille par Madeleine Cornuault à La Forêt-sur-Sèvre (Saint-Marsault) en août 1982

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Madeleine Cornuault dépeint la pratique de la danse et particulièrement de l'avant-deux et du quadrille dans les noces, de la guerre 14-18 au seuil des années cinquante en évoquant le contexte socio-culturel. Elle décrit certains pas avec…

A propos des musiciens Alfred Talon, Albert Girardeau et Bourdounàu

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Après avoir évoqué les débuts des violoneux Alfred Talon et Albert Girardeau, Madeleine Cornuault précise que Bourdounàu est venu deux années en 1919 et 1920.

A propos de l'apprentissage de la danse aux noces, aux assemblées et contre les interdictions

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En dehors des noces et des assemblées, la jeunesse apprenait également à danser "clandestinement"dans des petites veillées avec des gavotteurs.

A propos de la pascovia (inf.) dansée par le 3ème âge, de l'apprentissage d'une scottish (inf.) à une jeune fille et de l'aisance du danseur

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Evocation de l'éxécution erronée de la pascovia dans un club de 3ème âge et de l'expérience d'une jeune feille plutôt contractée qui voulait apprendre à danser la scottish avec Madeleine cornuault lors d'une rencontre à La Marandière de Montravers.…

A propos des musiciens

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Les informateurs précisent que les musiciens se faisaient payer et citent le cas d'Alfred Talon. Il évoquent ensuite Baptiste Girard qui travaillait probablement le bois et fabriquait des jougs. Alphonse et Madeleine parlent également de la…

A propos des souvenirs d'école et considérations sur le violoneux Alfred Talon

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Madeleine Cornuault fait part des souvenirs d'école avec Alfred Talon et sa soeur Emma Vincendeau puis évoque l'activité musicale d'Alfred Talon.

A propos de la place et de la circulation des danseurs d'avant-deux avec explication des pas et démonstration avec air d'avant-deux (ana.) fredonné

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Madeleine Cornuault explique dans un premier la place du cavalier d'avant-deux et la circulation des danseurs avec une première demonstration fredonnée. Elle précise ensuite l'importance de la musique et des annonces du musicien pour finir sur une…

A propos d'un quadrille lors d'une noce en 1949, de la bonne conduite des figures et à propos des danseurs qui ne dansaient pas selon les mêmes pas

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En 1949, Madeleine Cornualt fut invitée à une noce à Moutiers sou-Chantemerle où devait se danser un quadrille mais malheureuseement Alfred Talon, l'accordéoniste, ne s'en souvenait plus.

A propos de ceux qui ne dansaient pas, des différentes danses perdues et conservées dans l'après-guerre puis des danseurs qui "chaouniant"

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Allusion au concours de danses par l'enquêteur. Evocation des danseurs qui ne dansaient pas puis des danses perdues (scottish, mazurka) et danses qui ont perduré (avant-deux, valse, polka). Evocation des danseurs qui "chaouniant", qui criaient.

A propos des airs d'avant-deux dont ceux de Bourdounàu et gavotte chantée "En avant-deux la culotte rouge"

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Madeleine Cornuault tient la gavotte de sa grand-mère.

A propos de l'importance de la musique pour la danse, de la difficulté à danser avec un partenaire inconnu et du quadrille des soeurs Talon

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Madeleine Cornuault évoque sa satisfaction d'avoir danser l'avant-deux sur une musique appropriée lors d'une noce en 1967 à La Ronde.

A propos de la nourriture à l'école

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Madeleine explique qu'elle amenait son grignon de pain qu'elle faisait tremper dans la soupe offerte par l'école. Elle portait des sabots de bois.