René Vendé joue quelques airs de danse et s'essaye à jouer la polka suggérée et jouée par Christain Rotureau. Le couple est également interrogé sur différents thèmes relatifs à la culture populaire sans grand succès sauf pour quelques jeux d'enfants…
Mme Mouchard interpelle un pensionnaire au sujet d'une polka qui évoque d'autres danses dont la chaloupée qu'il définit comme danse de ville (non convenable).
Léon fortin fait part de la technicité de son accordéon diatonique "Dedenis" et la difficulté du doigté. Il parle d'un autre accordéon de la marque Maugein. Il évoque comparativement sa pratique de l'accordéon aux contacts des prisonniers russes…
René Vendé, en présence de sa femme, La Flocellière, 26 février 1981 :
Il joue des airs de danses de son répertoire, au violon, puis, avec l'enquêteur, ils écoutent et commentent un enregistrement de Pascal Guilloteau sur lequel celui-ci joue…
M. Vendé décrit avec sa femme le jeu du furet durant les veillées à travers le matériel (corde enfilée dans une alliance) et la chanson "Il est passé par ici". Il en dépeignent les règles utilisées et les gages qui en découlent.
Berceuse "Fais-dodo Colas mon petit frère" esquissée par Mme Vendé puis citation d'informateurs susceptibles de connaître des éléments de littérature orale
Sur la sollicitation de Pascal Guérin, Léon Fortin enchaîne les airs de danses et décrit en fin de document sa technique de jeu sur son accordéon. il évoque sa participation aux veillées.