Adolphe Veignaud enchaîne les morceaux à l'accordéon créés pour la plupart entre les deux guerres. Pascal Guérin peine à l'amener sur un répertoire plus ancien qu'il a certes cotoyé mais pas appris à l'accordéon.
Le questionnement sur les rondes relatives au Mardi-Gras au début de la séquence reste sans véritable réponse sinon la ciation d'un incipit "Mardi-Gras t'en vas pas"
Sur la sollicitation de Pascal Guérin chacun s'essaye à chanter à la chanson sans véritablement aboutir à une version étoffée. On se souvient de la chanson à l'occasion de la soupe à l'oignon.
Marcel Fortin joue l'avant-deux sollicité par Pascal Guérin qui fredonne l'air. Marcel précise qu'il tient l'air de Gauchet et de Jousset des Herbiers (85)
Ils connaissaient des chansons de battages mais ne s'en souviennent pas. Ils donnent des noms d'amis qui pourraient s'en souvenir (M. Baudouin de Courlay, ou M. Joseph Cailleau).