L'informateur livre de nombreuses explications sur les cimetières en Cévennes et les rituels plutôt sobres des protestants pour entourer les défunts. Il fait la comparaison avec le catholicisme.

L'informateur cite quelques foires et quelques chemins pour s'y rendre. Il explique la vie des cheminots qui passaient de maison en maison proposer leurs services et évoque Roux le déserteur de 1914. Il fait la comparaison avec le maquis de 1940.

La conversation s'engage sur les êtres fantastiques comme Gargantua, le Daquet ou la Roméqua. C'est l'occasion pour l'informateur de revenir à ses souvenirs de jeunesse et d'évoquer les diverses anecdotes du pays et ses peurs personnelles. Il est…

L'informateur après avoir prévenu l'enquêteur qu'il n'avait pas grand chose à lu apprendre sur ses thèmes, livre néanmoins quelques informations sur le passé collectif cévenol, notamment sur les veillées et la toponymie.

L'informateur se souvient de ce que son père racontait sur la guerre de 1914 lors des veillées. Il évoque également l'ambiance des veillées et le souvenir de son père chantant des airs d'opérette, les accordéonnistes et le spremiers phonographes.

L'informateur cite le proverbe occitan des vaccarièls et en donne l'explication. Suivent d'autres proverbes popuaires et leur traduction.

L'informateur donne quelques explications sur des noms de rochers et sur les traces de l'histoire dans la topographie des environs.

La conversation porte sur le thème des loups et des pièges utilisés.

L'informateur se souvient de ce qui était raconté sur les seigneurs cévenols et leurs faits et gestes. Il donne ensuite quelques explciations sur les lieux-dits auxquels sont rattachés des légendes.

L'informateur explique l'arrivée de sa famille dans son village et leur activité après la guerre de 14-18. Il raconte son activité d'agriculteur malgré l'envie de son père de le voir devenir instituteur.