Jean Noiraud évoque une farce "essoumàe les abelles" (note d'enq.) puis sa mère décrit deux jeux : "le train de sept heures" et "adorer le pape". Le jeune enfant tente d'esquisser un jeu "Le petit chien" mais est coupé par la fin de bande.
Sollicités par Francine Court, Mme Noiraud et son fils Jean évoquent, souvent succinctement, les thèmes suggérés. Ils parlent ainsi des veillées, des chansonnettes pour distraire les petits enfants, des jeux, de rites de mariage (le cassage du pot du…