Mme Fièvre commence à réciter une chanson puis fredonne un air qui est celui de la complainte de Perrier qu'elle interprète en entier malgré quelques silences
A propos des mariages qui n'étaient jamais célébrés au mois de mai, des vieilles filles qui mettaient un bouquet de muguet à leur porte, de la galette fabriquée et donnée à un mendiant la veille du mariage pour éviter la pluie..
Mme Fièvre décrit la journée d'une couturière. Elle évoque d'abord ce métier du temps de sa mère puis parle de l'évolution des tâches, des conditions de travail qui restaient difficiles
Mme Fièvre est enregistrée à nouveau par Jany Rouger. Cette fois, elle s'étend loguement sur les couutmes liées à la religion catholique, les cérémonies et les habitudes lors de la semaine de Pâques, les rogations, les jeûnes...parfois elle compare…
L'informatrice chez Mme fièvre raconte qu'un bouquet était offert aux jeunes qui battaient pour la première fois, les jours de machine. Une chanson était interprétée à ce moment ainsi qu'un poème
A propos des coutumes de noces quand le frère ou la soeur du marié(e) étaient plus agés et encore célibataires (brouter le choux, filasse d'une quenouille)
Mme Fièvre raconte que les catholiques faisaient la procession le matin après la messe, trois jours avant l'ascension. Des litanies étaient chantées. Elle en décrit certains parcours ainsi que le déroulement puis la semaine de rogation et son…
Les filles qui étaient plus agées et encore célibataires recevaient le jour du premier mai un bouquet de clochettes (muguet) à leur porte puis Mme Fièvre raconte accompagnée d'une informatrice inconnue que la rosée du matin du premier mai était très…