"Chanson historique dont le texte est à rapprocher de ""Fontanella"" (La Villemarqué, Luzel...), même si à aucun moment le nom de La Fontenelle n'apparaît. Loeiz Herrieu en donne une version sous ce titre en 1911…
"La conversation porte d'abord sur ""Loeizig er Rawalleg"", puis sur ""Bosenn Elian"", dont l'informateur évoque les premiers couplets (""'tre er Pont Gwenn hag er Faoued, é hes eur zan' a neus kojet..."")."
"La conversation porte dans un premier temps sur différents informateurs de la région de Langonnet et sur leurs biographies (Mari Huilliou, Barbon Floc'h...). Commence ensuite un entretien sur la gwerz de Loeizig er Rawalleg (localisation,…
Un deuxième air est choisi par l'informateur pour soutenir la gwerz, dont une version plus longue que la précédente est interprétée. S'en suit une conversation précisant le déroulement de l'action.
"La conversation, après une brève évocation chantée de ""Loeizig er Rawalleg"", s'oriente vers ""Ar Bosenn dont de larges extraits sont récités ou fredonnés."
Donatien Laurent et Anne-Marie Clédy se sont déplacés à Gourin, chez la soeur de cette dernière (Marie-Anne). La conversation porte sur la gwerz de Loeizig er Rawalleg et sur le déroulement de son action. Le jour précis de l'événement est cité, ce…
La conversation porte sur l'environnement familial de l'informatrice (enfance), puis sur la gwerz de Loeizig er Rawalleg et sur l'apprentissage qu'elle en a eu. Présence d'un fort bruit de fond qui gêne la compréhension du dialogue.
Bribes de la chanson, suivies d'une conversation autour de la gwerz, de l'action qui y est décrite, et de l'apprentissage qu'en a eu l'informateur auprès d'Iwan Michel.
La conversation porte sur la gwerz de Loeizig er Rawalleg. L'informatrice et une tierce personne (femme) tentent de se remémorer les couplets et en chantent quelques bribes.
"La chanteuse ici présente n'est pas une chanteuse de tradition. Il s'agit probablement d'une amie de Donatien Laurent et/ou de Pierre Le Padellec, présente sur le lieu de l'enquête. La version de ""Bonom koz"" interprétée ici vient sans doute d'un…