L'informatrice évoque la dureté de la vie des femmes à terre pendant que les hommes étaient partis, et de celle des marins à la pêche à Terre-Neuve et au Hareng.
L'informateur décrit le mouvement de la ronde chantée. Elle précise qu'on dansait la ronde à trois pas mais que certaines chansons se faisaient sur un plus grand nombre de pas.